A l’occasion du French Tech Day, les vingt gagnants de l’Impact NA20 ont été annoncés

Le programme Impact NA20 a récompensé 20 startups innovantes de Nouvelle-Aquitaine. Les entreprises innovantes primées se sont distinguées par leur implication sociale et/ou écologique.

Lancé il y a quatre ans et porté par les sept réseaux French Tech de Nouvelle-Aquitaine, sous l’impulsion de la French Tech Bordeaux, le programme Impact NA20 récompense chaque année 20 jeunes pousses. Cette initiative met en lumière les startups régionales qui doivent se distinguer par leur engagement en faveur de causes sociales et environnementales. Ainsi, à la clôture du French Tech Day de Bordeaux, les 20 gagnants de l’Impact NA20 2024 ont été dévoilés. Malgré un contexte marqué par les intempéries et les mouvements sociaux, l’événement a rassemblé plus de 1 700 participants, témoignant de l’engouement autour de cette initiative. Par ailleurs, une nouvelle étape a été franchie avec l’annonce de la création d’un groupe d’entreprises émergentes qui se rendra à Los Angeles fin février prochain, à l’occasion des 60 ans de partenariat entre les deux villes.

Zoom sur les solutions innovantes des lauréats

Cette année, l’Impact NA20 a mis sur le devant de la scène 20 startups innovantes de Nouvelle-Aquitaine, chacune apportant des solutions novatrices à des enjeux sociétaux et environnementaux variés.

Dans le domaine de la santé, Apha Biomat à La Rochelle développe des implants médicaux temporaires, tandis que bYoRNA à Bègles fabrique de l’acide ribonucléique messager à base de levure pour des applications thérapeutiques. Louise à Bordeaux, quant à elle, propose des outils numériques pour accompagner les patients dans leur parcours de fertilité. Par ailleurs, Dépist&vous facilite l’accès au dépistage des cancers grâce au numérique, et Lynxter à Bayonne utilise l’impression 3D pour répondre aux besoins de l’industrie et de la santé.

Le secteur de l’environnement n’est pas en reste avec Cosmoya à Canéjan qui innove dans les soins solaires naturels, Ecométrique à Limoges qui développe des capteurs pour surveiller la qualité de l’eau, et Green Gen Technologies à Bergerac qui fabrique des contenants écologiques. Mo.del au Haillan protège les vignes des intempéries, tandis que Moon, à Bordeaux, s’engage à rendre l’énergie solaire plus accessible en Afrique subsaharienne. Enfin, Vasco finance des initiatives de modernisation énergétique pour réduire l’empreinte carbone des habitations.

L’innovation s’étend également à d’autres domaines : Gimmic Design à Bordeaux conçoit des meubles éco-conçus, GoCap à Hinx a mis au point un vitrage innovant, et Midipile à Saint-Michel propose des utilitaires compacts. Hectarea à Castres-Gironde offre des solutions d’investissement foncier agricole, tandis qu’Investir Ensemble réhabilite des logements pour les personnes en situation de précarité. Maloric au Bouscat révolutionne le secteur maritime avec ses technologies d’ailes autonomes, et Marie Curry à Bordeaux met en valeur les traditions culinaires locales.

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Deux prix ont récompensé l’excellence de ces projets : Moon a reçu le Prix Coup de Cœur de la Société Générale Sud-Ouest, et Investir Ensemble a remporté le prix Régénératif décerné par Onepoint.

Pour les professionnels du portage salarial, des outils innovants comme la simulation de taux journalier moyen offrent une meilleure visibilité sur leur rémunération potentielle et l’optimisation de la gestion de leur activité.

20 pépites de l’innovation pour un avenir durable

Lancé au mois de juillet dernier, l’appel à projets Impact NA20 a suscité un vif intérêt avec 34 candidatures. Pour évaluer ces dossiers, la French Tech Bordeaux a constitué un jury d’experts composé d’Hervé Souchon (Société Générale), Olivier Hayat (Hayat Avocat), Anaïs Gaillard (Onepoint), Stéphanie Hillard (Demeter IM), Laurence Riou (Ixeo-Conseil), Fiona Fauvel (DealCockpit) et Philippe Métayer (French Tech Bordeaux).

Les entreprises lauréates se sont distinguées par leur engagement sociétal et/ou écologique, leurs performances financières et leur aptitude à générer des emplois.  Pour les entrepreneurs à la recherche de structures plus flexibles, le portage salarial offre une alternative intéressante, notamment grâce à la possibilité de réaliser une simulation de taux journalier moyen. Cet outil permet de mieux anticiper les revenus de manière précise et de sécuriser son activité.

La French Tech Bordeaux souligne que :

« Elles offrent un panel de solutions à impact très variées issues de tous les départements de Nouvelle-Aquitaine », ajoutant qu’elles profiteront chacune « d’un coup de projecteur national, d’un suivi particulier pendant un an et d’opportunités régulières grâce aux 7 écosystèmes French Tech de Nouvelle-Aquitaine. »

Facebook révolutionne ses indicateurs de performance en privilégiant les vues

Fin de règne pour les « likes » ? Facebook amorce un tournant majeur en adoptant les « vues » comme principal critère de performance, initiant ainsi une nouvelle ère pour les créateurs de contenu et leur manière de mesurer l’engagement.

Facebook a décidé de miser sur un nouvel indicateur pour évaluer la performance des contenus : les « vues ». En délaissant les métriques traditionnelles comme les « j’aime » et les partages, ce choix stratégique redéfinit la manière dont les créateurs de contenu conçoivent et diffusent leurs publications. En mettant l’accent sur la visibilité, la plateforme semble engager une course à l’attention, soulevant des interrogations sur l’impact de cette transition sur la qualité des contenus proposés.

Les recommandations algorithmiques renforcent l’engagement sur Facebook et Instagram

Dans le sillage d’Instagram, Facebook fait basculer ses indicateurs de performance en privilégiant les vues pour l’ensemble des contenus de sa plateforme. Inspiré par le succès de cette métrique sur Instagram, Facebook étend cette approche à tout son écosystème. Dans ce cadre, la simulation tjm joue un rôle clé en permettant de standardiser les mesures de performance liées à la monétisation des contenus.

Cette approche offre aux créateurs un outil précis pour évaluer leur rentabilité, tout en alignant les métriques de Facebook et d’Instagram.

Parallèlement, les recommandations algorithmiques prennent une place croissante sur Facebook et Instagram, générant une part significative des vues. Meta met ainsi l’accent sur la production de contenus de qualité, pour favoriser une connexion authentique avec l’audience. En harmonisant les indicateurs de performance entre les deux plateformes, Meta ambitionne de créer un environnement plus cohérent et adapté aux besoins des créateurs.

Meta simplifie l’analyse des campagnes en unifiant contenus organiques et publicitaires

Ces évolutions s’accompagnent d’une refonte de l’interface des statistiques au sein de la Meta Business Suite et du tableau de bord professionnel. Désormais, les Vues deviennent la métrique de référence pour évaluer le succès des publications, reléguant les impressions à un rôle secondaire. 

En parallèle, Meta a ajusté les indicateurs de performance des vidéos en remplaçant le « temps de visionnage » par des métriques plus précises telles que les Minutes vues et les Minutes moyennes vues.

Ces changements permettent aux créateurs de mieux analyser leurs performances et d’affiner leurs stratégies, notamment grâce à l’utilisation de la simulation tjm. Cet outil s’avère crucial pour optimiser les stratégies de monétisation en calculant avec plus de précision les revenus potentiels par contenu, tout en s’adaptant à la nouvelle hiérarchisation des métriques.

En unifiant les statistiques entre contenus organiques et publicitaires, Meta simplifie aussi l’évaluation de l’impact global des campagnes.

À compter du 14 novembre 2024, Facebook a décidé d’uniformiser les mesures d’efficacité en privilégiant les vues pour tous les types de contenus. En s’alignant sur les pratiques d’Instagram, Meta vise à rationaliser l’analyse de données et à créer une expérience utilisateur plus fluide à travers ses différentes applications. Désormais, pour les vidéos et les Reels, le terme « Vues » remplacera « Plays » ou « Lectures ». Les Stories, photos et publications textuelles seront désormais comptabilisées en « vues » plutôt qu’en « impressions ». 

Chaque interaction, même les visualisations répétées, sera prise en compte dans cette nouvelle statistique. Chaque visualisation d’une photo, même multiple au sein d’une même journée, sera comptabilisée comme une Vue distincte. 

Desktops et Citrix Virtual Apps dévoile des failles critiques

Très récemment, Citrix a annoncé à ses clients que des failles et des vulnérabilités ont été découvertes dans sa solution Virtual Apps et sa solution desktops. Suite à cela, la société a déjà pris les devant en publiant des correctifs à installer rapidement pour que ses clients puissent se protéger des attaques malveillantes.

Dans le paysage numérique d’aujourd’hui, les failles de sécurité deviennent des défis majeurs pour les entreprises. Dans ce contexte, la société Citrix a découvert des failles dans sa solution de virtualisation de bureau qu’un pirate peut exploiter. Avec ses vulnérabilités, les RSSI sont invités à effectuer quelques mises à niveau. Les experts de WatchTowr à l’origine de la découverte des failles ont mis notamment en garde les utilisateurs contre la possibilité d’une attaque MSMQ via http. L’une des conséquences peut être la prise de contrôle à distance du poste de travail hacké. Néanmoins, il semble que Citrix et WatchTowr ne soient pas d’accord sur le niveau de gravité des failles.

Failles sur failles découvertes

Ces temps-ci, il semblerait que bon nombre de failles ont été découvertes par les experts de WatchTowr concernant Citrix. En effet, selon un rapport paru dans un blog, à part cette vulnérabilité de Citrix Virtual Apps, une autre faille a été découverte. Dans les faits, il semble qu’un processus de sérialisation dans le gestionnaire de stockage Session Recording Storage Manager peut être exploité afin que les utilisateurs authentifiés puissent avoir un contrôle total.  

D’ailleurs, selon les professionnels de la cybersécurité de WatchTowr, Citrix utilise encore BinaryFormatter lors de la désérialisation, ce qui est grave comme l’affirme les experts :

« Nous savons depuis longtemps que l’utilisation d’un BinaryFormatter pour la désérialisation est presque toujours dangereuse, […] Il expose de nombreuses fonctionnalités à quiconque peut lui fournir des messages et, même s’il peut être utilisé en toute sécurité, son usage est tellement pénalisant que Microsoft elle-même dit qu’il ne devrait pas être utilisé. » 

Tout comme les algorithmes qui permettent d’effectuer une simulation de portage salarial en ligne, cette faille exploite un bogue technique pour accéder à MSMQ via http. En temps normal, le support http n’est pas exécutable dans un environnement virtuel Citrix, mais pour d’obscures raisons il est activé lorsque le bureau virtuel est installé. À titre d’information, le bogue dans MSMQ est référencé en tant que CVE-2024-21554 dans le catalogue des failles actives.

Des mises à niveau et des correctifs à appliquer côté client

En connaissant l’existence des failles et en ayant déjà pris soin de faire le nécessaire, Citrix a publié un bulletin de sécurité. Dans ce dernier, la société recommande à ses clients de procéder à l’installation des mises à niveau requises dès que le calendrier de mise à jour le permet. Ici, deux failles sont concernées dans l’environnement Citrix Session Recording, à savoir : la faille CVE-2024-8068 qui a un scoring de 5.1 et la faille CVE-2024-8069 qui a le même score CVSS.

Côté urgence de la vulnérabilité, la société préconise une installation de mise à niveau préventive – à l’exemple de l’exécution d’une simulation de portage salarial pour anticiper et optimiser la gestion des revenus d’un salarié.

Selon Citrix, chaque appareil et terminal est différent de ce fait les priorités de sécurités aussi. Dans le communiqué de l’entreprise, elle annonce que plus de 29 000 CVE et correctifs ont déjà été enregistrés et publiés. Toutefois, ce chiffre se base sur les trois premiers trimestres de l’année 2024 et est supérieur à l’ensemble de l’année 2023.

Il est à savoir que les vulnérabilités se trouvent dans la fonction enregistrement de session pour Desktops et Session Recording de Citrix Virtual Apps. Ces deux sessions proposent aux experts IT de faire un enregistrement vidéo des mouvements du clavier et de la souris à des fins de surveillance et de sécurité. Les vidéos sont ensuite stockées sur le serveur de Citrix.  

Le télétravail et l’externalisation devient un vrai problème pour Microsoft

Le mois de novembre 2024 a été marqué par de nombreux événements et notamment la journée de grève du groupe syndical ZeniMax Workers United. Ce dernier regroupe plus de 300 testeurs pour l’entreprise Microsoft. L’objectif du groupe est clair : avoir une discussion de vive voix avec Microsoft au sujet du télétravail et de l’externalisation des tâches.

C’est en Janvier 2023 que le groupe ZeniMax Workers United a vu le jour. Composés de plus 300 employés venant de Bethesda Studios et de ZeniMax Studios, le collectif de syndiqués était considéré en ce temps-là comme le plus grand syndicat de Jeux Vidéos des États-Unis. Afin, donc, de prouver la force du nombre, ils ont organisé une journée de mobilisation générale contre leur société mère Microsoft. Selon le syndicat, dans une publication sur X, ils n’ont pas peur de faire ce qu’il faut pour que Microsoft accepte de se retrouver avec eux autour de la table des négociations afin d’aborder les questions du travail à distance et de l’externalisation.

Microsoft et sa politique envers l’externalisation des tâches

Pour ZeniMax Workers United, le premier problème qui a conduit à cette grève d’une journée est l’externalisation des tâches d’assurance qualité. Les salariés syndiqués, qui doivent souvent engager des frais professionnels pour leurs activités, reprochent à Microsoft de ne pas répondre à leurs appels à la négociation concernant la sous-traitance des tâches d’assurance qualité. Dans le but, donc, de pousser Microsoft à négocier au sujet de la sous-traitance des tâches, ils ont fait grève – comme l’affirme un des syndiqués :

« Faire grève n’est ni amusant ni idéal, mais il y a une satisfaction à avoir une action physique concrète que nous pouvons faire pour lutter pour de meilleures conditions de travail. Nous espérons les convaincre d’arrêter de traîner les pieds et de nous rencontrer à la table des négociations ».

En parallèle avec cette journée de mobilisation, le CWA, le comité d’organisation qui soutient ZeniMax Workers United avec l’appui de plusieurs syndicats de Jeux Vidéos, a également déposé une plainte pour travail déloyal auprès du Conseil National des Relations de Travail. La raison de la plainte est la sous-traitance du travail sans avoir informé au préalable le syndic. Dans ce contexte, il est bon de savoir que plusieurs grèves ont déjà eu lieu au pays de l’aigle au cours de l’année écoulée.

Le travail à domicile est une question sensible pour les syndiqués et Microsoft

Depuis que la pandémie a fait son apparition et que le travail à domicile est devenu bien plus qu’une mode, bon nombre de sociétés spécialisées en jeux vidéo ont assoupli leurs politiques en matière de télétravail. Malheureusement, aujourd’hui ces initiatives se perdent dans les tréfonds de la vie de société et les ordres de retour au bureau se multiplient.

L’une des conséquences de ces changements est la démission en masse des salariés, souvent confrontés à des frais professionnels supplémentaires liés au retour au bureau, après avoir trouvé un équilibre dans le travail à distance.

Au mois d’octobre 2024, le syndicat d’Activision a protesté devant leurs bureaux au Texas, au Minnesota et en Californie contre Microsoft. Selon eux, le géant du web ne tient pas compte des travailleurs qui ne peuvent pas travailler au bureau pour des raisons médicales. Lorsqu’on parle de grève, en 2021 les salariés de Raven Software ont fait grève durant plusieurs semaines à la suite de non-renouvellement de contrats de plusieurs collaborateurs. En Juillet de cette année, les acteurs vocaux et les interprètes de SAG-AFTRA ont protesté contre la venue de l’IA.

Même si la grève de ZeniMax Workers United n’a pas duré aussi longtemps que celle de SAG-AFTRA, la porte-parole de Microsoft affirme :

« Nous respectons le droit de nos employés à exprimer leur point de vue comme ils l’ont fait aujourd’hui. Nous continuerons à les écouter et à répondre à leurs préoccupations à la table des négociations ».

A l’approche des fêtes de fin d’année, Google révèle les produits stars de 2024

Les données de recherche Google mettent en avant une sélection de produits populaires pour 2024, allant du bien-être à l’électronique. Cette liste, précieuse pour consommateurs et marques, révèle les tendances et préférences actuelles, avec des articles à la fois tendance et adaptés aux besoins des utilisateurs.

Tous les ans, quand les fêtes de fin d’année sont proches, les internautes se ruent sur les moteurs de recherche pour s’inspirer et trouver des idées de cadeaux. Il faut souligner que le comportement des consommateurs ne cesse d’évoluer, impacté par les modes de vie, les événements ou encore les avancées technologiques.

Référence mondiale de la recherche, Google a révélé sa liste annuelle des produits les plus plébiscités en ligne. Celle-ci montre des tendances centrées sur le bien-être, la praticité et le retour des produits rétro. Ces tendances semblent traduire une volonté croissante des consommateurs de privilégier des articles à la fois stylés et fonctionnels.

Top 7 des produits phare pour fin 2024 sur Google

Parmi les produits phares recherchés sur le moteur de recherche Google, on distingue 7 grandes tendances pour des idées de cadeaux de fin d’année 2024 :

  • Les vêtements ;
  • Les accessoires ;
  • La beauté ;
  • Les astuces Maisons & Jardins ;
  • L’électronique ;
  • Les jouets et les jeux ;
  • La santé et le bien-être.

Dans la catégorie vêtements, les jeans amples se démarquent par une hausse significative des recherches, soutenue par des personnalités comme la chanteuse américaine Victoria Monét, qui recommande ce style. Concernant l’électronique, les écouteurs sans fil ont le vent en poupe. Toutefois, le produit vintage de cette année reste sans conteste le tourne-disque, dont les recherches ont fortement augmenté. Du côté des accessoires, les sacs de voyage ainsi que les chapeaux cowboy font sensation, surtout durant la saison automnale.

Pour les experts souhaitant optimiser leurs revenus en cette fin d’année, le tjm en portage salarial constitue un indicateur pertinent. Ce mode de travail permet aux consultants autonomes de facturer leurs services à un tarif compétitif, tout en bénéficiant de la sécurité sociale d’un salarié.

Les meilleurs objets recherchés en 2024

Google a recensé environ 100 objets comptant parmi les grandes « tendances » de l’année 2024. Parmi eux, les chaises empilables, avec une augmentation de 50 % des recherches, sont particulièrement prisées pour leur capacité à économiser de l’espace et leur grande praticité.

Un autre produit en vogue est le générateur de bruit blanc pour dormir, générant des sons apaisants (le vent, la mer ou la pluie). Ce dispositif gagne en popularité, surtout auprès des individus souffrant de troubles du sommeil liés aux nuisances sonores.

Dans la catégorie des jouets pour enfants, les scooters voient une hausse de 65 % des recherches. Ces produits sont appréciés non seulement pour leur aspect ludique, mais aussi pour leur capacité à stimuler la motricité des enfants.

Le secteur de la beauté connaît également une forte demande pour les produits novateurs. Un des articles ayant vu une explosion des recherches, soit +5000 %, est le filtre liquide pour visage. Ce produit est conçu pour améliorer l’éclat de la peau, répondant ainsi à une forte demande de la part des consommateurs.

Simples à entretenir et notamment anti-taches, les tapis lavables maintiennent une notoriété constante. Recommandés et appréciés, les utilisateurs semblent porter un intérêt particulier pour les modèles antidérapants.

Cette évolution des tendances ouvre de nouvelles opportunités pour certains professionnels, comme les influenceurs beauté exerçant en portage salarial. En négociant leur tjm en portage salarial, ils peuvent optimiser leur rémunération tout en se concentrant sur les partenariats avec des marques et la monétisation de leur expertise.

Une alliance franco-allemande pour rivaliser avec Microsoft et Google

Il y a quelque temps, Qwant et Ecosia ont annoncé une alliance très prometteuse qui fait parler d’elle. Avec un objectif ambitieux de s’affranchir des deux plus grands moteurs de recherche au monde, les deux entreprises européennes travaillent à lancer leur propre index de recherche pour offrir une alternative indépendante.

Le 12 novembre 2024, Qwant a annoncé officiellement la création d’une coentreprise avec Ecosia (une ancienne rivale allemande), nommée European Search Perspective (ESP), dont l’objectif ultime est de rivaliser avec Google et Microsoft sur le marché des moteurs de recherche. Cette initiative, détenue à parts égales par les deux entreprises française et allemande, cherche à développer une infrastructure de recherche européenne indépendante, offrant une alternative solide aux technologies existantes.

ESP prévoit d’améliorer l’expérience utilisateur en proposant des résultats de recherche plus pertinents et adaptés aux besoins européens, tout en respectant les réglementations du Digital Markets Act (DMA) de l’Union européenne.

Se libérer de Bing et de Google

Actuellement, que ce soit pour des recherches basiques, telle qu’une recette de cuisine, ou pour des sujets plus techniques, comme une simulation de portage salarial, les moteurs de recherche Bing et Google dominent largement les requêtes en ligne. Toutefois, cela risque très prochainement de changer si la coentreprise European Search Perspective (ESP), fondée par Qwant et Ecosia, arrive à ses fins. En effet, pour l’horizon 2025, les ambitions des deux sociétés sont de sortir leur propre index de recherche.

ESP prévoit de lancer un nouvel index de recherche indépendant, d’abord en français et en allemand, avec des extensions vers d’autres langues par la suite. Cet index devrait également être accessible aux autres moteurs de recherche via une API, ce qui pourrait diversifier les sources d’information et limiter la dépendance actuelle envers Google et Bing.

Avec cette alliance, l’objectif de Qwant et Ecosia est clair : rompre leur dépendance vis-à-vis de Bing. Il faut savoir que cette ambition est légitime puisque la majeure partie des résultats de recherche proposés par Qwant provient de Bing (Microsoft) et ceux d’Ecosia sont un mélange de Bing et de Google. Cette alliance pourrait aussi introduire des innovations spécifiques à l’expérience utilisateur, en misant sur une meilleure sécurité et une protection renforcée de la vie privée, des critères de plus en plus prisés par les internautes.

Avec Google captant actuellement environ 90 % des parts de marché en Europe, ESP vise à offrir une alternative sérieuse, indépendante et respectueuse des données personnelles, un positionnement qui pourrait attirer un public européen en quête de choix et de transparence dans leurs recherches.

Qwant et Ecosia prêts à défier Google et Bing en Europe

L’initiative de Qwant et d’Ecosia, au-delà de l’indépendance vis-à-vis des géants américains, a également une motivation économique. En effet, avant cette année, la société du multimilliardaire Bill Gates a considérablement augmenté les tarifs de ses APIs Bing, compliquant la tâche aux moteurs de recherche qui en dépendaient. Pour éviter ces surcoûts, Ecosia a migré vers Google pour certaines fonctionnalités, mais cette alternative a ses propres limites : les APIs Google ne sont pas disponibles pour les applications mobiles, ce qui restreint leur utilisation.

Dans ce contexte, les deux sociétés misent donc maintenant sur le DMA européen afin de contraindre Google à partager une partie de ses données de recherche, permettant ainsi aux utilisateurs de choisir plus librement leur moteur de recherche par défaut, notamment sur des plateformes comme Chrome. Par exemple, une recherche spécifique sur des sujets techniques, tels qu’une simulation de portage salarial, pourrait être effectuée sur des moteurs alternatifs, offrant un accès plus diversifié aux informations, sans dépendre exclusivement de Google.

Cette alliance représente pour Qwant et Ecosia une opportunité unique de se démarquer dans le secteur des moteurs de recherche. Avec une part de marché de seulement 0,3 %, Ecosia reste loin derrière les géants du domaine, malgré son modèle de financement écoresponsable basé sur la reforestation. Qwant, pour sa part, a également rencontré des difficultés financières et a été racheté en 2023 par le fondateur d’OVHcloud, une étape qui pourrait stabiliser son avenir. Ensemble, les deux entreprises espèrent tirer parti de la demande croissante pour des solutions de recherche éthiques et autonomes en Europe, se positionnant comme une alternative crédible aux moteurs de recherche américains.

Le renouveau de l’investissement immobilier à l’honneur lors du « RENT » 2024

Le salon RENT, rendez-vous incontournable pour les professionnels de la Proptech en France, s’est récemment tenu. Lors de l’édition 2024, les acteurs du secteur ont partagé leurs perspectives et ambitions pour rendre l’investissement immobilier plus accessible.

Pour les professionnels de l’immobilier en France, l’objectif est clair : rendre l’investissement immobilier accessible à un plus grand nombre. Lors du salon RENT 2024, plusieurs figures influentes de la Proptech ont partagé leurs visions sur ce sujet. Dans un contexte où les défis financiers compliquent l’accès à l’immobilier, le salon a permis aux experts de promouvoir une approche plus inclusive et abordable de l’investissement immobilier, encourageant de nouvelles perspectives pour le secteur.

Des initiatives innovantes pour démocratiser l’investissement immobilier

Lors du salon RENT 2024, divers experts de l’investissement immobilier ont présenté des initiatives innovantes visant à démocratiser et transformer le secteur.

Parmi ces idées, Kapi.club s’est distinguée avec son approche de Club Deal. Il s’agit d’un concept de collaboration et de partage appliqué dans le monde de l’investissement. Ainsi, cette plateforme permet, même à des petits investisseurs, comme les salariés moyens ou même les jeunes actifs, qui ont des frais professionnels à gérer, de participer à des projets d’envergure dans l’investissement immobilier. En rejoignant Kapi.club, les étudiants ou jeunes travailleurs peuvent diversifier leurs portefeuilles tout en s’enrichissant humainement par l’expérience collective.

Pour Homunity, la solution pour avoir un secteur immobilier plus inclusif est le crowdfunding. La plateforme, qui a vu le jour en 2014, est une référence dans le domaine de l’investissement participatif avec 70% de taux de réinvestissement et pas moins de 130 000 inscrits. Sur la plateforme, l’investissement en immobilier commence à partir de 1000 euros, avec un modèle basé sur la confiance mais aussi sur la sécurité – comme l’explique la Directrice marketing d’Homunity :

« Nous sommes à la pointe de la régulation, en travaillant main dans la main avec l’AMF pour maintenir un environnement de confiance. Notre mission est de prouver qu’investir dans l’immobilier, même avec peu de moyens, est possible et rentable, tout en étant clair sur les risques. ».

En ce qui concerne Agorastore, un des acteurs ayant participé au salon RENT, son modèle se base sur les enchères. La plateforme permet aux particuliers d’enchérir pour acquérir des biens issus du patrimoine public. Ce système offre aux investisseurs la possibilité de se procurer des biens atypiques et de redonner vie à des propriétés délaissées, tout en allégeant les finances des collectivités locales. Agorastore allie ainsi innovation et valorisation des territoires en soutenant la réutilisation de biens souvent inoccupés.

Ces initiatives illustrent bien les nouvelles avenues pour les petits investisseurs et l’importance d’une approche plus inclusive dans l’immobilier.

Transformer le marché pour faire de la France une référence en immobilier inclusif

Les trois plateformes partagent une ambition commune : la transparence et la démocratisation de l’investissement immobilier. Pour elles, l’évolution de ce secteur ne peut se concrétiser qu’en facilitant l’accès à l’immobilier. Un objectif partagé par de nombreux investisseurs, y compris les salariés ayant des frais professionnels à gérer, qui voient dans l’immobilier une manière de diversifier leur patrimoine et de sécuriser leurs finances.

Homunity met particulièrement en avant la diversification comme clé de succès dans l’investissement immobilier. En plus du crowdfunding immobilier, la plateforme propose d’investir dans des SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) et des unités de compte, permettant aux particuliers de répartir leurs investissements et ainsi réduire les risques. Ce modèle de diversification s’aligne sur une stratégie d’investissement équilibré, prisée par les petits et moyens investisseurs.

En comparaison avec certains pays où les plateformes d’investissement sont déjà bien ancrées, la France accuse un léger retard. Cependant, le marché français comble rapidement cet écart. Avec des initiatives et des acteurs comme ceux présents au RENT 2024, l’Hexagone se positionne pour devenir un modèle d’investissement immobilier accessible. Désormais, même un citoyen lambda peut envisager d’investir dans l’immobilier avec des solutions à la fois sécurisées et démocratisées, répondant ainsi à une forte demande pour des options de placement plus accessibles et variées.

Fariha Shah et sa société « Cominty » veut révolutionner l’industrie française en misant sur l’IA

Actrice clé de la « tech » 100% française, Fariha Shah tente actuellement de changer le visage de l’industrie en misant sur l’intelligence artificielle pour booster la productivité en entreprise. Elle avance dans cette direction avec une première levée de fonds.

Depuis la plateforme dédiée au recrutement, Golden Bees, Fariha Shah a réussi à voir les changements qui se sont produits dans le monde du travail. Parallèlement, elle a vu le potentiel de l’intelligence artificielle lorsque les modèles LLM comme ChatGPT ont surgi. Dès lors, la jeune entrepreneure a décidé de continuer sa route et en 2023, avec l’aide de Jonathan Bordereau et de Moustapha Ebnou, elle a mis sur pied son entreprise qui porte le nom de « Cominty ». Cette dernière a pour objectif de se servir de l’IA pour changer le monde de l’entreprise en créant ce qu’elle appelle « le cerveau de l’entreprise », un outil innovant visant à optimiser les processus internes et à renforcer la productivité.

Cominty lance « Mirror », un LLM français dédié aux RH

Afin de transformer le monde de l’entreprise, Fariha Shah s’appuie sur « Cominty » ou plus précisément son modèle IA appelé « Mirror ». Ce dernier est un langage LLM 100% français.

Tout comme un simulateur qui aide une personne à connaître son tjm portage salarial, Mirror vise à trouver le bon candidat pour les équipes RH, en tenant compte de divers critères bien définis. L’idée, ici, est de simplement faciliter la compréhension des données pour les responsables du recrutement en misant sur les grands LLMs du marché (ChatGPT, Mistral Large et Llama) – comme l’explique la créatrice de Cominty :

« Il y a des outils généralistes très intégrés pour les entreprises, mais il y a un vrai problème de personnalisation […] L’IA, ce n’est pas juste un bouton. Il y a des documents différents, des applications différentes… C’est assez complexe. Les entreprises s’adaptent aux outils, mais il n’y a quasiment pas d’outil qui s’adapte aux entreprises […] On veut aider les entreprises de taille moyenne à ne pas passer à côté des bénéfices de l’IA».

Pour y parvenir et donner vie à son projet, les équipes de Cominty procédé à une levée de fonds. Ainsi, pour cette initiative, des business angels comme Pierre-Étienne Lorenceau, Bertrand Folliet, Hervé Solus, Adrien Hubert, Yacine Terki ont rejoint l’aventure de la société. Grâce à cela, la jeune start-up a réussi à avoir environ 1,2 millions d’euros pour se lancer. Maintenant, avec les fonds en poche, la société est en train de développer de nouvelles fonctionnalités pour son modèle IA. Le but ultime est de devenir un des leaders de ce marché en pleine expansion.

Un assistant vocal en entreprise pour 2025

À part les nouvelles fonctionnalités de sa solution, « Cominty » est sur le point d’intégrer un système conversationnel vocal – à l’horizon 2025. Pour la start-up, l’objectif est que l’utilisateur puisse poser n’importe quelles questions et avoir des réponses pertinentes et opérationnelles – via une interface dynamique et interactive avec le cerveau de l’entreprise.

Cependant, la jeune entrepreneure est consciente que pour les entreprises, l’adoption de l’IA soulève diverses questions, y compris des interrogations sur le tjm en portage salarial pour les salariés portés spécialisés dans ces technologies. Pour Fariha Shah, les Etats-Unis sont plus ouverts d’esprit que l’Europe lorsqu’il s’agit d’adopter les solutions IA. 

Selon la créatrice de « Cominty », toutes les entreprises ne sont pas forcément prêtes à accepter l’IA à l’exemple de ChatGPT. Quoi qu’il en soit, la question est : est-ce que les entreprises de l’Hexagone sont prêtes à s’appuyer sur le cerveau de l’entreprise et à choisir une solution tricolore ?

Les enjeux du prochain Jamespot Summit 2024

Moment très attendu par les experts et les amateurs du numérique, le programme du Jamespot Summit 2024 a été récemment annoncé par le responsable de la communication de Jamespot. La prochaine édition de l’événement aura lieu le 14 novembre 2024, à partir de 9 heures.

Événement en ligne créé pour le domaine du numérique, le Jamespot se déroule chaque année et se destine à tous les professionnels, DSI, DRH et dirigeants d’entreprises évoluant dans le domaine du numérique et du digital. Il a été mis au point dans le but de permettre à ces acteurs de parfaire leurs connaissances du domaine numérique et d’être au courant des dernières innovations. L’objectif étant également de pouvoir voir les nouvelles opportunités pour leurs sociétés et organisations. Pour cette année 2024, un des responsables de la communication chez Jamespot, et par conséquent du Summit, a annoncé le programme et les enjeux à discuter lors de l’événement.

Garder le cap dans un monde numérique en mutation 

À l’image d’une simulation de portage salarial qui aide les salariés portés à estimer leurs revenus nets, le Jamespot Summit vise à aider les entreprises à garder le cap dans un environnement numérique en constante évolution. Les organisateurs sont au courant du fait que le monde numérique est en perpétuelle évolution et que les transformations sont constantes. De ce fait, il devient essentiel pour les organisations de garder le cap et de ne pas se noyer dans cet océan d’innovations et – bien sûr – d’opportunités ; comme l’affirme le responsable de la communication de Jamespot :

« Il est devenu difficile voire même stressant pour les organisations de s’y retrouver, de comprendre ces transformations et d’identifier lesquelles peuvent servir leur activité. C’est là tout l’enjeu du Summit : les aider à garder le cap et à naviguer dans cet océan d’innovations et d’opportunités. ».

Pour l’occasion, donc, les professionnels et les acteurs du secteur du numérique peuvent assister à plusieurs temps forts :

  • Des conférences (réunissant les plus grands spécialistes du numériques du moment – pour partager leurs expériences et leurs analyses) ;
  • Une présentation des fonctionnalités et des innovations du Digital Workplace de Jamespot (une occasion pour les professionnels de savoir comment Jamespot peut les aider dans leurs projets) :
  • Des ateliers pour chaque type de métier du numérique.

Un rendez-vous digital personnalisé pour les professionnels

Pour les organisateurs, chaque Summit est différent. Pour cette année, il y aura plus d’activités, d’animations et de conférences. Par ailleurs, l’édition 2024 du Jamespot Summit intégrera un espace virtuel afin d’accueillir plus de participants. D’ailleurs, les organisateurs ont concocté quelques nouveautés dont le plus important est la diversification des thèmes des ateliers. Autrefois, les précédentes éditions se concentraient sur le plus grand nombre, cette édition 2024 se destine à chaque professionnel (DSI, managers, dirigeants d’entreprise, etc.).

Les raisons de participer à l’événement sont multiples, tout comme celles qui motivent un salarié porté à réaliser une simulation de portage salarial pour mieux comprendre ses revenus et optimisations possibles. Avant tout, le Jamespot Summit vise à offrir aux professionnels une vue d’ensemble des grandes avancées numériques mais aussi, à aborder les problématiques que les organisations rencontrent au quotidien.

En somme, le Jamespot Summit Edition 2024 sera l’occasion pour les professionnels de :

  • Faire la découverte des dernières innovations digitales ;
  • Connaître les techniques pour optimiser la communication en entreprise ;
  • Procéder à des échanges avec les experts dans le domaine du numérique ;
  • Profiter des astuces et des conseils pour mieux révéler les défis liés aux entreprises.

Pourquoi les MU-Plugins sont essentiels pour la performance de votre site wordpress

Les MU-plugins, à l’inverse des extensions traditionnelles, s’activent automatiquement et assurent le bon fonctionnement des outils des sites WordPress. Bien que ces derniers offrent une solution stable et sécurisée pour les administrateurs de sites, ils ne sont pas exempts de contraintes.

Les MU-plugins représentent une catégorie d’extensions WordPress souvent méconnue mais essentielle pour les gestionnaires de sites. Ces plugins, installés dans un répertoire spécifique et activés automatiquement, sont conçus pour faciliter la gestion d’un réseau WordPress multisite. En permettant l’exécution de code avant tout autre plugin, ils sont idéaux pour implémenter des fonctionnalités personnalisées, des modifications de base et des mesures de sécurité. Cependant, leur puissance s’accompagne d’une complexité qui nécessite une compréhension approfondie des mécanismes de WordPress. Découvrez en quelques lignes leurs avantages, leurs inconvénients et leur mode de fonctionnement.

Les atouts et les limites à connaître

Les MU-plugins sont des extensions WordPress particulières. Ces plugins, à l’origine associés au WordPress MultiUser (WPMU) et employés dans des environnements multisites, sont appelés « Must-Use Plugins », qui signifie littéralement « Extensions indispensables ».

Les Must-Use Plugins sont spécialement prisés par les administrateurs de sites WordPress en raison des nombreux bénéfices qu’ils procurent. En premier lieu, ils sont activés automatiquement et leur désactivation requiert une suppression manuelle. De plus, le processus de chargement des extensions commence par les MU-Plugins, qui sont exécutés avant tous les autres, en suivant l’ordre alphabétique de leurs noms de fichiers. Ainsi, ils bénéficient d’une priorité d’exécution, assurant ainsi la disponibilité précoce de ses outils. Par ailleurs, l’activation d’un MU-Plugins est extrêmement simple. Elle se fait en déposant son fichier dans le dossier «/mu-plugins ».

De surcroît, les Must-Use Plugins sont destinés à garantir la pérennité de leurs fonctionnalités, quelles que soient les modifications apportées au site. Pour finir, les MU-plugins sont sécurisés, car ils sont inaccessibles et non désactivables par les utilisateurs standards. Cette caractéristique assure leur activation permanente et protège le site contre toute altération non autorisée, réduisant ainsi les frais professionnels liés à la maintenance et à la sécurité.

Cependant, en dépit de leurs atouts, les Must-Use Plugins comportent des limites et des menaces significatives. Tout d’abord, ils nécessitent une mise à jour manuelle. De plus, ils ne génèrent pas de notifications automatiques. Ensuite, leur faible visibilité complique leur gestion, leur désactivation et le diagnostic en cas de défaillance. Puis, certains plugins essentiels peuvent être incompatibles avec des extensions classiques. Enfin, leur emplacement spécifique dans le dossier «/mu-plugins/» les empêche de déclencher les hooks d’activation.

Le mode de fonctionnement décrypté

Créés il y a quinze ans, les Must-Use Plugins se différencient des plugins classiques par leur mode d’installation et leur activation automatique à chaque accès au site WordPress. De plus, ils ne peuvent être désactivés depuis l’interface d’administration.

Pour installer un MU-Plugin, il suffit de suivre quelques phases. Dans un premier temps, il faut vérifier l’existence du répertoire «/mu-plugins/» et le créer si nécessaire. Ensuite, il convient de créer le fichier PHP comportant le code du plugin et de le placer directement dans ce répertoire. Il est important de noter que l’ordre d’activation des Must-Use Plugins suit l’ordre alphabétique de leurs noms de fichiers. Finalement, pour personnaliser l’emplacement du dossier par défaut, il suffit de modifier les constantes appropriées dans le fichier « wp-config.php ».

Les MU-Plugins assurent l’activation continue des outils essentiels du site WordPress. Ces extensions servent principalement à renforcer la sécurité des sites, faciliter leur entretien, optimiser leurs performances et offrir une expérience utilisateur personnalisée. Pour illustrer, on peut citer les plugins dédiés à la limitation des tentatives d’authentification, à la création des raccourcis personnalisés (Shortcodes), à l’intégration des codes de suivi (tracking codes), l’automatisation de tâches liées au référencement naturel et à la gestion des types de publications personnalisées (Custom Post Types).

En automatisant de nombreuses tâches, les Must-Use Plugins permettent de réduire les frais professionnels en diminuant le temps passé par les gestionnaires de site sur des opérations répétitives. Après avoir installées les extensions de base, vous pourrez implémenter des extensions supplémentaires selon vos exigences.