Le fondateur de Blast exprime ses ambitions pour son club d’investissement en 2025

Lancé en 2022, Blast.Club a rapidement séduit 8000 investisseurs, générant 20 millions d’euros de chiffre d’affaires dès sa deuxième année. Ce cercle d’investisseurs sélectif soutient des startups à tous les stades de leur développement. Avec un budget de 130 à 150 millions d’euros prévu pour 2025, il privilégie les projets portés par des fondateurs visionnaires.

En 2024, Blast a rassemblé une communauté de 8 000 membres actifs. Le club d’investissement s’est fixé un objectif ambitieux : atteindre les 12 000 membres en 2025. Un objectif que son fondateur estime réalisable sans trop de difficultés. Selon lui, la liste d’attente est un signe de la bonne santé du club.

Il lui faut encore obtenir au drop environ 4 000 membres pour atteindre les 12 000. Il est normal de perdre quelques clients en route d’après Anthony Bourbon, le fondateur. Le drop est une soirée unique où un nombre limité de personnes peuvent rejoindre le cercle du club. Le fondateur a officialisé la tenue de cet événement annuel en mars.

Un investissement prévu à hauteur de 150 millions d’euros

Le Blast Club prévoit de financer entre 30 à 50 startups en 2025, pour un montant total compris entre 130 et 150 millions d’euros. Son fondateur précise à ce sujet :

« Nous investissons entre 3 et 5 millions d’euros par startup. Notre agrément AMF nous plafonne à 5 millions d’euros mais il y a plusieurs possibilités que nous sommes en train d’étudier. »

Le club d’investissement n’exige pas que les startups soient à un stade de développement particulier. Son champ d’investissement couvre tout le cycle de vie d’une entreprise. À l’instar de nombreux investisseurs, le club attache une grande importance à la qualité des dirigeants, cherchant avant tout des CEO visionnaires et engagés.

Tout comme l’investissement dans une startup exige une stratégie bien définie, l’indépendance professionnelle requiert une planification rigoureuse. Dans ce cadre, une simulation en portage salarial peut être un excellent moyen pour les travailleurs indépendants de mieux anticiper leur rémunération et d’optimiser leurs revenus.

Toutefois, l’accès au Blast Club reste limité. Seuls quelques membres triés sur le volet peuvent y participer tout au long de l’année, une politique qui suscite parfois des critiques au sein de l’écosystème entrepreneurial. Malgré cela, l’attrait du club demeure fort.

En levant 2,8 millions d’euros auprès de Blast, Paul Lê, cofondateur de La Belle Vie et Frichti, confirme la solidité du réseau. D’après lui, ce sont de véritables professionnels de l’investissement.

Les fondateurs bénéficient de plusieurs canaux d’échange avec les investisseurs, tels que des salons de discussion sur Discord, des événements dédiés et des sessions de chat vidéo, facilitant ainsi la collaboration et le partage d’expérience.

Une communauté d’investisseurs en pleine expansion

Blast.Club, créé en 2022 par Anthony Bourbon, connaît un succès fulgurant. Avec une communauté de 8 000 membres actifs, le club organise plus de 70 événements privés par an et a levé 80 millions d’euros. Dès sa deuxième année, Blast a réalisé un chiffre d’affaires de 20 millions d’euros et un EBITDA impressionnant de 13 millions d’euros.

À l’aube de 2025, le fondateur exprime son enthousiasme quant aux perspectives du club. L’équipe, composée de 40 collaborateurs, ne prévoit pas de nouvelles embauches pour le moment. Comme l’explique Anthony Bourbon :

« Avec Samuel Ghez, directeur général, nous avons fait en sorte d’avoir des gros profils. Nous avons une moyenne d’âge de 35, 36 ans. »

Pour les entrepreneurs souhaitant s’impliquer dans des projets innovants tout en sécurisant leur statut professionnel, une simulation en portage salarial peut être une option pertinente pour optimiser leur rémunération et bénéficier d’un cadre structuré.

Malgré des tarifs élevés, Blast affiche un taux de renouvellement de 75 %, atteignant même 90% pour les membres Gold. Les abonnements varient entre 1 000 à 10 000 euros annuels et s’accompagnent de frais supplémentaires : frais de structuration de 3 à 5% sur les investissements et 20% sur les plus-values réalisées.

Anthony Bourbon justifie son modèle en mettant en avant les atouts et les prestations de Blast. En plus d’accéder à des opportunités d’investissement, les membres bénéficient de 100 heures de formation, de communautés en ligne et d’événements organisés à travers toute la France.

En réponse aux attentes de ses adhérents, Blast a récemment mis en place un marché secondaire permettant aux membres de revendre leurs parts à d’autres investisseurs du club. Une initiative qui rencontre un franc succès et renforce encore davantage l’attrait de la plateforme.

Entre automatisation, consulting SEO et netlinking, Réacteur met en avant les clés pour réussir en marketing digital

Quels sont les défis de la conception d’outils SEO innovants selon les expériences de YourTextGuru et Babbar. Quelles sont les stratégies pour se démarquer sur un marché saturé : choix technologiques, algorithmes, plateformes. Quel est le coût réel – humain et financier – du développement de solutions SaaS dédiées au SEO.

 

Tous les mois, le média Réacteur se consacre au SEO et au Search Marketing, publiant plusieurs articles d’analyse pour inspirer les experts du domaine. Pour ce mois de janvier, les thématiques abordées incluent l’IA et l’automatisation avec Mathieu Chapon, la stratégie de netlinking avec Sylvain Delaporte, ainsi que le Google Merchant Center (GMC) avec Benoît Perrotin.

Les lecteurs pourront également découvrir la conception d’outils SEO avec Sylvain Peyronnet et les conseils de Pierre Sauvé pour démarrer un projet de consulting SEO. Ces articles offrent aux lecteurs des perspectives enrichissantes afin d’explorer les multiples facettes du marketing digital.

Mathieu Chapon explore les opportunités de l’IA et de l’automatisation

Signé Mathieu Chapon, un article consacré à l’IA et l’automatisation permet de découvrir les opportunités offertes par les outils comme ChatGPT, Make ou encore Zapier. Non seulement ces technologies peuvent simplifier les tâches répétitives, elles permettent également de :

  • Automatiser certaines actions sur LinkedIn ;
  • Gérer les emails de manière plus efficace ;
  • Générer des contenus engageants ;
  • Dédier plus de temps sur les tâches à forte valeur ajoutée.

Les professionnels indépendants utilisant ces solutions auront la possibilité d’optimiser leur productivité et d’atteindre leurs objectifs avec moins de contraintes. Dans cette optique, une estimation de salaire brut peut s’avérer précieuse pour mesurer la rentabilité de ces outils, en intégrant par exemple le temps gagné grâce à l’automatisation dans le calcul.

Présenté comme la « Search Console » du e-commerce, le Google Merchant Center apparait comme un outil stratégique pour optimiser les performances des campagnes organiques et payantes. L’article explore divers aspects de cet outil, comme :

  • L’analyse concurrentielle pour affiner les stratégies ;
  • La gestion des configurations multilingues et multi-pays ;
  • La manière d’améliorer le maillage interne ;
  • La façon d’optimiser l’arborescence des sites e-commerce.

Dans cet article, les lecteurs découvriront également les recommandations pour structurer les données produits et exploiter pleinement les opportunités offertes par Google Shopping.

L’adaptabilité renforce l’efficacité des campagnes SEO

L’article de Pierre Sauvé aborde le consulting SEO, mettant en avant quelques astuces intéressantes pour démarrer un projet efficacement. Parmi les recommandations, les professionnels pourront :

  • Tirer parti de l’historique d’un site pour construire une stratégie sur mesure ;
  • Anticiper et répondre aux défis spécifiques (crises ou demandes urgentes).

Pour transformer toute collaboration en réussite SEO, l’accent est mis sur l’exploitation des forces dans les équipes et la flexibilité des plans d’action.

Pour un consultant SEO ou indépendant souhaitant une transition vers une structure plus cadrée et sécurisée, le portage salarial apparaît comme une solution intéressante. Dans ce contexte, réaliser une estimation de salaire brut constitue une étape importante pour mieux appréhender les implications financières de cette transition, en tenant compte des cotisations sociales, des frais de gestion, ou encore des revenus nets attendus.

Concernant son article sur le netlinking, Sylvain Delaporte a exposé plusieurs pratiques efficaces, mais souvent négligées. Il insiste notamment sur l’importance d’une analyse approfondie des pages et de la concurrence avant de lancer une campagne. Les lecteurs sont également aiguillés sur comment exploiter les pages d’accueil et structurer leur contenu afin d’optimiser leur visibilité et booster leur taux de conversion. L’article met aussi en avant l’adaptabilité comme facteur clé pour dépasser les stratégies conventionnelles et obtenir un avantage concurrentiel durable.

Levées de fonds, les startups françaises ont-elles les moyens de leurs ambitions ?

Malgré une concurrence intense, la France reste un leader européen des levées de fonds. Cependant, elle fait face à la domination des États-Unis, qui bénéficient d’un contexte géopolitique favorable pour soutenir des innovations de rupture telles que l’IA, la blockchain et les technologies spatiales.

L’écosystème des startups françaises traverse une période marquée par des turbulences économiques et une baisse des financements. En 2024, les levées de fonds ont atteint 7,77 milliards d’euros répartis sur 723 opérations, confirmant la tendance à la baisse amorcée en 2023. Loin des 13,5 milliards d’euros levés en 2022, cette baisse montre les impacts d’un environnement macroéconomique incertain et des hésitations politiques.

Cependant, certains segments, comme les tours de table importants et les petites levées de fonds, enregistrent une légère progression de 4%. Paris reste le pôle principal d’innovation, attirant des investissements considérables dans l’IA et les technologies vertes.

Une croissance détonante malgré un contexte global complexe

Malgré le déclin global des investissements, l’IA continue d’afficher une croissance fulgurante en France. En 2024, de nombreuses startups expertes dans ce secteur ont recueilli près de 3 milliards d’euros, une progression significative par rapport aux années précédentes.

À l’échelle internationale, les États-Unis dominent largement avec 38 milliards de dollars investis dans l’IA, enregistrant une augmentation de 52 % par rapport à l’année précédente. En Europe, la France et le Royaume-Uni se disputent la deuxième place, juste derrière l’Allemagne, qui affiche une forte dynamique. Par ailleurs, Paris consolide son rôle de centre européen de l’IA, même si elle fait face à une concurrence accrue de Londres et des pôles technologiques américains.

D’autres régions françaises se démarquent également en 2024, bien que leur part dans les levées totales demeure relativement modeste. On peut citer par exemple :

  • La Normandie (10 millions levés en seulement 6 opérations) ;
  • La Bretagne (198 millions d’euros à travers 27 opérations) ;
  • Les Pays de la Loire (203 millions d’euros répartis sur 20 opérations).

Rennes se distingue particulièrement dans l’Ouest, grâce à une levée significative de 85 millions d’euros pour un projet lié au new space.

Au-delà de ces chiffres impressionnants, il importe de souligner que le financement de l’IA en France intègre souvent divers coûts annexes, dont les frais professionnels liés aux opérations. Trop souvent négligés, ces frais jouent pourtant un rôle crucial dans le soutien à la compétitivité des startups et petites entreprises du secteur.

Les startups françaises se développent dans un contexte incertain

Le futur des startups françaises semble être prometteur et incertain en même temps. Pour se démarquer dans un contexte de concurrence mondiale, il est préférable de suivre de près les dynamiques sectorielles et les avancées technologiques.

Au-delà de l’IA, d’autres secteurs montrent des signes de résilience, notamment les technologies vertes et les fintechs. Bien que ces domaines semblent être éclipsés par l’engouement pour l’IA, ils ont réussi à drainer 840 millions d’euros en 2024 (une hausse de 32%). Cette croissance témoigne un regain d’intérêt pour des solutions financières digitales et innovantes adaptées aux nouveaux besoins des entreprises et des consommateurs. 

Pour les startups évoluant dans ces secteurs, la gestion efficace des frais professionnels constitue un levier stratégique essentiel pour assurer leur viabilité. Qu’il s’agisse d’abonnements logiciels, de déplacements, d’achats de matériels ou d’outils, ces frais doivent être optimisés pour canaliser les financements vers l’innovation et maximiser l’efficacité opérationnelle.

Toutefois, les startups greentech ont fait face à une chute des investissements de 29%, malgré des levées atteignant 1,9 milliards d’euros. Ce recul n’a cependant pas freiné l’essor du secteur, puisque le nombre d’opérations a progressé de 32 %, illustrant une diversification croissante des projets soutenus.

Le destin d’OpenAI se joue devant les tribunaux

Elon Musk a lancé une procédure légale visant à contraindre OpenAI à mettre aux enchères une part importante de son capital. Cette démarche permettrait de garantir la protection de l’intérêt public dans le cadre de la restructuration de l’entreprise.

Le milliardaire visionnaire Elon Musk, cofondateur d’OpenAI, vient de lancer une offensive juridique contre l’entreprise de recherche en intelligence artificielle. Il a officiellement demandé aux autorités de Californie et du Delaware d’obliger OpenAI à mettre aux enchères une partie significative de ses actions. Cette requête fait suite à une récente réorganisation interne de la société. Par conséquent, Musk craint que cette nouvelle orientation ne compromette les objectifs initiaux d’OpenAI de développer une IA bénéfique pour tous.

Une vente aux enchères pour trancher la valeur

Dans une lettre datée du 10 janvier dernier, rédigée par son avocat Marc Toberoff, Elon Musk a demandé aux autorités de Californie et du Delaware d’organiser une vente aux enchères d’une part significative des actions d’OpenAI. En effet, l’objectif de cette requête est de fixer de manière transparente la valeur réelle de ces parts. Ainsi, l’intérêt de la communauté serait mieux protégé dans le contexte de l’évolution de l’entreprise.

Il est important de noter que la détermination de la valeur de ces actifs pourrait avoir des implications importantes en termes de frais professionnels liés aux procédures légales et aux évaluations financières nécessaires.

Parallèlement, les autorités du Delaware, sous la direction de la procureure générale Kathy Jennings, suivent de près les transformations envisagées par OpenAI. À la fin de l’année dernière, elles ont d’ailleurs manifesté leurs préoccupations dans un mémoire juridique. Cette initiative démontre leur engagement à jouer un rôle actif dans ce dossier. De l’avis des analystes juridiques, ce document pourrait influencer la décision finale concernant la réorganisation de la société.

Cette intervention a suscité un vif débat. Darryll Jones, de l’université FAMU, a souligné que la position du Delaware pourrait restreindre les possibilités d’opposition à la transformation proposée. Toutefois, des opinions divergentes, notamment celles d’Elon Musk, pourraient également peser dans la balance et façonner l’interprétation judiciaire de cette affaire.

OpenAI à la croisée des chemins

Créée en 2015 par un groupe d’experts en technologie, dont Elon Musk et Sam Altman, OpenAI s’est donné pour mission de développer une IA responsable et bénéfique pour tous. Dès ses prémices, l’entreprise s’est distinguée par ses recherches novatrices dans le secteur. Cette dynamique a abouti, il y a trois ans, au lancement de ChatGPT, un modèle de langage qui a très vite conquis un large public et a transformé les interactions homme-machine.

Fondée à l’origine comme une entité à but non lucratif, OpenAI, sous la direction de Sam Altman, souhaite désormais adopter un statut d’intérêt public. Ce changement de cap s’explique par la nécessité de mobiliser des financements massifs pour soutenir ses travaux de recherche, qui nécessitent des frais professionnels considérables en matière d’infrastructure informatique et de recrutement de talents. Cette décision intervient après une levée de fonds record de 6,6 milliards de dollars, qui a porté la valorisation d’OpenAI à 157 milliards de dollars.

Malgré son départ d’OpenAI, Elon Musk suit de près l’évolution de l’entreprise. Il conteste vivement la restructuration d’OpenAI, redoutant que ce virage commercial ne nuise ses objectifs fondamentaux. Le procès en cours illustre les divergences de points de vue sur l’avenir de la société.

Seventure Partners, leader européen du capital-innovation

Depuis 1997, Seventure Partners s’impose comme un pilier de l’innovation en Europe à travers sa stratégie multisectorielle. En soutenant plus de 300 entreprises, ce fonds investit dans le digital, le sport et bien-être, l’économie bleue et la santé, contribuant ainsi à une croissance durable.

Créée en 1997, Seventure Partners a acquis une position dominante dans le domaine du capital-innovation en très peu de temps. Bien que disposant de ressources limitées à ses débuts, le fonds a su profiter de chaque opportunité de progression en investissant dans des entreprises prometteuses et innovantes.

Seventure Partners doit aussi son succès à des partenaires de qualité et à une stratégie d’investissement multisectorielle. Aujourd’hui encore, le fonds maintient son influence sur l’écosystème de l’innovation, jouant un rôle moteur dans le succès et la croissance de nombreuses startups.

Une croissance et une expansion portées par une vision solide

À l’heure actuelle, Seventure Partners poursuit son expansion stratégique, s’appuyant sur une équipe d’environ quarante collaborateurs, dont trente s’occupent exclusivement d’investissement. Cela inclut des collaborateurs ayant fait une simulation en portage salarial, signe de la diversification des profils professionnels dans le domaine du private equity.

Depuis 2013, l’évolution de Seventure Partners a été remarquable :

  • Ses actifs en gestion ont triplé pour atteindre le milliard d’euros.
  • Partenariats stratégiques avec des grands industriels, renforçant son expertise sectorielle.
  • Expansion internationale, avec une présence croissante en Europe du Nord, Amérique du Nord et même en Asie.

À ce jour, Seventure Partners a soutenu plus de 300 entreprises, dont 150 figurent dans son portefeuille actuel. Parmi leurs investissements les plus récents, on retrouve :

MaaT Pharma, pionnière dans les greffes de microbiote utilisées pour traiter les maladies auto-immunes. L’entreprise est cotée en bourse depuis 2021.

La Vie, spécialisée en substituts de viande, en pleine expansion sur le marché de l’alimentation durable.

Kinomap, start-up basée à Lille, connue pour ses applications immersives destinées aux machines de sport indoor.

En termes de sortie, le fonds a réalisé une trentaine d’introductions en bourse. Par exemple, Polaris en mai 2023, Foodsmart en juillet 2024 et récemment BSport en décembre 2024.

Le « Multisector approach » au cœur de la stratégie d’investissement

Dans son approche de l’investissement, Seventure Partners privilégie une stratégie « multisectorielle » structurée autour de quatre grands domaines.

En premier, le digital, qui englobe une large gamme de sociétés allant des services financiers et de consommation à la tech B2B et les solutions SaaS.

En second, il y a le sport & bien-être qui se tourne plus vers les technologies innovantes et immersives qui redéfinissent l’expérience des sportifs.

En troisième, il y a l’économie bleue, qui se caractérise par une approche tournée vers les activités durables telles que les énergies marines renouvelables ou l’aquaculture durable.

Enfin, il y a la santé, l’alimentation et l’agriculture qui représentent le plus grand fonds de Seventure. Cet axe se concentre sur des technologies de pointe et transformationnelles pour l’amélioration de la santé humaine, l’optimisation de la production alimentaire et la promotion de pratiques agricoles durables.

Pour les entreprises choisies par le fonds, les premiers investissements varient de 1 à 10 millions d’euros, avec une capacité de réinvestissement jusqu’à 25 millions d’euros. En tant qu’investisseur principal, Seventure ne se contente pas de financer. Il accompagne activement ses participations pour maximiser leur impact.

Comme le souligne le directeur du développement commercial de Seventure Partners :

« L’objectif est de maximiser l’impact à chaque étape tout en accompagnant les entreprises dans leur croissance ».

Ce modèle s’applique également aux entreprises qui intègrent des collaborateurs ayant fait une simulation de portage salarial, prouvant que l’indépendance professionnelle et l’innovation financière sont des atouts précieux dans l’environnement start-up.

En intégrant des profils issus du portage salarial, ces entreprises bénéficient de talents hautement spécialisés, capables d’apporter une expertise flexible sans les contraintes administratives du salariat classique.

Le Sommet pour l’Action sur l’IA en février 2025 prône un futur professionnel inclusif et éthique avec l’IA

L’intelligence artificielle redéfinit le monde du travail en automatisant certaines tâches tout en valorisant les compétences humaines. Le Sommet pour l’Action sur l’IA vise à établir les bases d’un avenir où expertise humaine et technologie cohabitent pour un environnement de travail plus résilient et inclusif.

En février 2025, Paris accueillera le Sommet pour l’Action sur l’IA, devenant le centre mondial de la réflexion sur l’IA. Il s’agit d’un événement placé sous la supervision de la Présidence de la République. Ce rendez-vous se focalisera sur les influences de l’IA sur l’emploi et le travail, thématique centrale dans un monde professionnel en mutation.

Ce sommet international rassemblera diverses personnalités de premier plan, surtout des chefs d’État et de gouvernement, mais également des dirigeants d’organisations internationales (UNESCO, OMS, ONU) et des leaders d’entreprises (Google, BNP Paribas, Microsoft, Dassault…). Seront également présents des organisations non gouvernementales et des chercheurs renommés issus de l’Université Paris Cité et de Berkeley.

L’IA au service de l’intérêt général

Durant le Sommet pour l’Action sur l’IA, divers axes stratégiques seront abordés, comme l’exploitation de l’IA au service de l’intérêt général, la gouvernance mondiale de cette technologie, le développement de systèmes d’IA de confiance. L’innovation et la culture seront également au cœur des discussions.

Ce rendez-vous parisien constitue une suite logique des précédents sommets de Bletchley Park en novembre 2023 et de Séoul en mai 2024. Il entend poser les bases d’actions concrètes dans le but d’assurer un déploiement d’une IA bénéfique et éthique pour la société, l’environnement et l’économie.

Parmi les sujets majeurs, l’impact de l’IA sur le marché du travail sera largement débattu. Comme le souligne le site officiel, l’IA bouleverse en profondeur les dynamiques du marché de l’emploi :

  • En modifiant la nature des tâches ;
  • En transformant de nombreux métiers.

Cette révolution impose une approche proactive pour adapter les programmes de formation et d’éducation à destination des entreprises et des salariés. L’enjeu central est de maîtriser les nouvelles compétences exigées. L’IA constitue, en effet, une opportunité unique d’augmenter la productivité, de renforcer le bien-être professionnel et d’améliorer la protection des travailleurs.

Dans cette dynamique, l’estimation de salaire brut devient un outil clé pour les professionnels, surtout ceux dans les domaines touchés par la transformation digitale et l’IA. Elle permet de mieux comprendre l’impact économique des compétences acquises et d’assurer une meilleure valorisation des profils spécialisés.

Une semaine dédiée à l’IA

Le Sommet pour l’Action sur l’IA ambitionne de promouvoir une meilleure compréhension des systèmes d’intelligence artificielle et de leurs usages. Ce rendez-vous met l’accent sur les implications de cette technologie dans les domaines de l’éducation, du travail et de la formation, tout en encourageant une approche favorisant la performance et l’innovation. Le dialogue social sera aussi au centre des discussions, en tant que levier majeur pour soutenir les transformations induites par l’ère de l’IA.

Le programme du Sommet s’étendra sur plusieurs jours, avec une série d’événements variés et fédérateurs :

  • Les 6 et 7 février : Des journées scientifiques intitulées « L’IA pour la science et la science pour l’IA » ;
  • Les 8 et 9 février : Un week-end culturel ouvert au grand public pour sensibiliser les citoyens ;
  • Le 10 février : Grand rassemblement réunissant un millier de participants (dirigeants, chercheurs et autres, démonstrations, conférences) dans le Grand Palais ;
  • Le 11 février : Début de la séquence officielle avec une séance plénière réunissant chefs d’État, gouvernements et acteurs de la société civile.

D’autres événements auront également lieu, notamment sur le campus d’innovation STATION F, où des ateliers pratiques aborderont des thématiques variées. Parmi elles, l’estimation de salaire brut pourrait être intégrée afin d’aider les participants à mieux comprendre l’impact de l’IA sur les modèles de rémunération et l’évolution des compétences professionnelles. 

À travers ces échanges de grande envergure, le sommet compte tracer les contours d’un avenir du travail où technologie, humanité et créativité coexistent en parfaite harmonie.

L’uniformité du code Go reste un enjeu important pour les développeurs

Les développeurs Go expriment un grand enthousiasme envers ce langage de programmation. Cependant, ils évoquent des challenges liés à l’uniformité du code.

L’engouement pour le langage de programmation Go ne faiblit pas. Une enquête menée en septembre dernier auprès des développeurs Go révèle que la majorité d’entre eux affichent une grande satisfaction envers ce langage. Toutefois, assurer l’homogénéité du code au sein des projets demeure problématique. Parallèlement, les résultats mettent en évidence une adoption rapide des outils d’intelligence artificielle par les développeurs Go pour les assister dans leurs tâches, telles que complétion de code ou la détection de bugs.

L’IA au service des développeurs Go.

D’après une étude réalisée auprès de 4 156 développeurs Go, 70 % des sondés affirment utiliser des assistants IA, pour compléter leur code automatiquement, générer du code à partir de descriptions textuelles, écrire des tests unitaires et trouver de nouvelles idées. Cependant, bien que ces derniers aient exprimé un intérêt accru pour l’IA l’année précédente, leur pratique actuelle ne reflète pas entièrement ces attentes. Par ailleurs, le choix du langage Go est souvent influencé par la facilité d’intégration avec les services cloud et la qualité du support proposés par les grands fournisseurs.

En outre, l’enquête montre que la communauté Go privilégie principalement les systèmes d’exploitation Linux (61 %) et MacOs (59 %) pour le développement, une tendance stable rapport aux années antérieures. Quant à l’ancienneté de leur utilisation de Go, 8 % des participants indiquent plus de 8 ans d’expérience, 23 % entre 5 et 7 ans, et 30 % entre 2 et 4 ans.

La possibilité de simulation en portage salarial pour les projets Go, notamment dans le cadre de collaborations ponctuelles ou d’expérimentations, pourrait offrir une flexibilité accrue aux développeurs, leur permettant d’évaluer de nouvelles approches sans engagement à long terme.

Le défi de l’homogénéité dans le code Go.

Le sondage révèle également que 93 % des développeurs Go se déclarent satisfaits de ce langage de programmation. Cependant, les résultats soulignent des difficultés à standardiser les normes de codage. Cette disparité s’explique par l’hétérogénéité des parcours professionnels et des niveaux d’expertise en langage Go des développeurs. En effet, les styles de codage varient d’une équipe à l’autre, et des pratiques non conformes aux idiomes du langage sont observées. Il convient de préciser que l’échantillon a été constitué grâce à une méthode de recrutement aléatoire sur le blog officiel Go ou dans des environnements de développement intégrés largement utilisés (VS Code et GoLand).

Pour mieux appréhender l’impact sur la productivité de ces disparités d’expériences en Go, une SIMULATION EN PORTAGE SALARIAL pourrait être envisagée afin d’évaluer les gains potentiels d’une standardisation rigoureuse des pratiques de développement.

Le Club Inno a levé le voile sur l’avenir du Web 3.0

Le Web 3.0 modifie la façon dont les utilisateurs interagissent avec les plateformes. Ils peuvent désormais posséder des biens numériques, gérer leurs informations personnelles et de contribuer pleinement à la construction des écosystèmes numériques.

L’intelligence artificielle et le Web 3.0 sont deux technologies qui suscitent un vif intérêt. Tandis que l’IA continue de gagner en popularité, le Web 3.0 vise à révolutionner des secteurs tels que les jeux vidéo, les biens physiques et les réseaux sociaux. Mais à quel point cette révolution numérique est-elle avancée ? Et quelles perspectives s’ouvrent dans les années à venir ?

Pour répondre à ces questions, l’événement parisien Club Inno, organisé par « World of Numeric », un cabinet spécialisé en transformation numérique, s’est penché sur l’avenir du Web 3.0.

Les opportunités économiques du Web 3.0

Les domaines pionniers à adopter le Web 3.0, comme le jeu vidéo, illustrent déjà le potentiel de cette innovation. Grâce à la jetonisation, les objets virtuels, pour lesquels les joueurs investissent des sommes considérables, pourront devenir de véritables actifs échangeables. Des sociétés telles qu’Ubisoft sont à l’avant-garde sur ces expérimentations en utilisant les jetons non fongibles.

La jetonisation de biens réels représente un tournant majeur dans les prochaines années. Ce processus innovant permet de diviser les actifs physiques (art, immobilier, objets de collection) en jetons numériques négociables sur les réseaux blockchain, offrant ainsi une plus grande transparence et sécurité dans les échanges. Les spécialistes prévoient une adoption massive de cette technologie d’ici 2023.

Par ailleurs, du point de vue financier, le règlement en cryptodevises gagne également du terrain. Fort de six cents millions d’utilisateurs en 2023, soit une hausse de 30 % par an, ce marché pourrait atteindre le milliard d’ici cinq ans, selon les estimations. Afin de capitaliser sur cette tendance et séduire une clientèle étrangère aisée, des enseignes, telles que Le Printemps, intègrent ces paiements à leurs offres. De plus, pour les entreprises, les cryptomonnaies offrent de nouveaux moyens de gérer les frais professionnels, notamment en simplifiant les paiements transfrontaliers et en réduisant les coûts de transaction.

En outre, le Web 3.0 pourrait offrir aux sociétés un accès à des données décentralisées plus complètes et mieux structurées, pour améliorer leurs outils de gestion de la relation client (CRM). Ce système permet également de créer des communautés engagées grâce aux jetons non fongibles et aux sociétés autonomes décentralisées. À titre d’exemple, Michelin s’appuie sur la NFT pour fidéliser sa clientèle, en leur proposant des avantages uniques et une relation privilégiée avec son entreprise.

Les utilisateurs reprennent le contrôle de leurs données

Alors que la création massive de données personnelles et de contenus par les utilisateurs profite essentiellement aux grandes entreprises du digital, le web 3.0 propose une révolution en redonnant le contrôle de ces informations entre les mains des utilisateurs, grâce à la technologie blockchain. Les créateurs de contenus, par exemple, peuvent désormais monétiser directement leurs œuvres sans passer par des intermédiaires et ainsi réduire leurs frais professionnels liés à la distribution.

Cette approche décentralisée rend les interactions en ligne plus justes et transparentes. En effet, les utilisateurs ne sont plus de simples consommateurs passifs, mais deviennent des acteurs actifs, pouvant détenir des biens virtuels, de gérer leurs propres données et de contribuer significativement à la construction des plateformes.

« Le web 3.0 part du constat que le web 2.0 présente une limite importante : l’intégralité du contenu généré par les utilisateurs profite à quelques acteurs clés, comme les GAFAM, et les données personnelles sont centralisées et gérées par ces mêmes acteurs. », souligne le fondateur de NFC Summit, John Karp.

Le CES 2025 explore un monde hyperconnecté porté par l’IA

Le CES projette une vision futuriste d’un monde hyperconnecté où l’IA, devenue indispensable, anticipe les besoins des utilisateurs sans intervention humaine.

Cependant, cet enthousiasme s’accompagne de scepticisme quant à son utilité réelle et aux risques pour la protection de la vie privée.

Le Consumer Electronics Show (CES) est l’événement incontournable des technologies grand public, mettant en lumière les avancées du monde connecté. L’édition 2025, qui s’est tenue du 7 au 10 janvier, était une fois de plus au cœur de l’innovation mondiale. 

Parmi les participants figurent des géants comme Google, Qualcomm, Starlink, Waymo et Nvidia. Cette année, l’accent sera mis sur l’intégration de l’intelligence artificielle dans une large gamme de produits, allant des dispositifs portables aux appareils domestiques. 

Le CES 2025 dévoilera également des innovations majeures, notamment en robotique avec le XoMotion, dans l’évolution des véhicules et les nouvelles fonctionnalités des PC grâce à l’IA.

L’IA au service des objets connectés

L’intelligence artificielle tente de s’imposer comme un levier central pour rendre les appareils connectés plus pratiques et intuitifs. Ces technologies ont pour objectif d’enrichir l’expérience utilisateur à travers des innovations telles que :

  • Des réfrigérateurs capables d’anticiper les besoins alimentaires ;
  • Des assistants vocaux intelligents.

Cependant, ces avancées suscitent d’importantes préoccupations, notamment en matière de sécurité. Parmi les risques identifiés figurent le hacking et le vol de données personnelles. De plus, certaines technologies, malgré des attentes élevées, finissent par décevoir au moment de leur lancement.

Dans le secteur automobile, des technologies avancées gagnent en popularité, comme :

  • Les systèmes d’information sophistiqués ;
  • Les écrans holographiques ;

Malgré ces transformations, les utilisateurs privilégient parfois des solutions plus fonctionnelles et simples. Cette tendance révèle un écart notable entre les attentes réelles des consommateurs et la sophistication des produits proposés.

Dans ce contexte de mutation technologique, l’estimation du salaire brut devient un facteur clé pour les professionnels du secteur. Avec l’adoption croissante de technologies comme l’IA, cette estimation permet de mieux comprendre les niveaux de rémunération potentielle des talents hautement qualifiés, indispensables à ces transformations.

Les dispositifs portables face à des défis d’adoption et de fonctionnalités

Les dispositifs portables ont un potentiel considérable, mais peinent encore à convaincre le public. Parmi les dispositifs qui sont au centre de l’attention, on peut inclure :

  • Les casques de réalité augmentée (AR) ;
  • Les lunettes connectées.

Certains produits emblématiques n’ont pas répondu aux attentes initiales, comme l’Apple Vision Pro ou encore les Google Glass. 

Cela illustre les défis significatifs de ce segment technologique en matière d’adoption, mais surtout de fonctionnalités.

En parallèle, l’intelligence artificielle joue un rôle de plus en plus central dans des domaines comme les téléviseurs et les ordinateurs. Les téléviseurs connectés, par exemple, s’appuient sur cette technologie pour offrir des recommandations personnalisées. Cependant, ces avancées suscitent également des préoccupations, en particulier sur la confidentialité des données.

Quant aux ordinateurs portables, ils intègrent des fonctionnalités permettant d’optimiser l’UX, bien que leurs capacités dans certains secteurs comme les jeux vidéo restent assez restreintes. 

L’estimation du salaire brut pourrait devenir un indicateur essentiel pour les professionnels engagés dans la conception et le développement de ces dispositifs technologiques. Les métiers autour de l’IA, de l’optimisation UX et de la réalité augmentée nécessitent des capacités spécifiques et des profils hautement qualifiés. Les rémunérations peuvent ainsi varier selon les aptitudes et l’expérience. 

Chatbot Arena a dévoilé les 10 meilleurs modèles d’intelligence artificielle en décembre 2024

Une récente évaluation objective des modèles de langage, menée par la Chatbot Arena, a positionné Google en tête du classement. En effet, le groupe a réussi à placer deux de ses modèles parmi les trois premiers, laissant OpenAI à la troisième place.

Chatbot Arena vient de publier son classement des 10 modèles d’intelligence artificielle les plus performants du mois de décembre. Cette nouvelle édition confirme l’intense compétition entre les géants de l’IA, Google et OpenAI. Avec huit modèles parmi les dix premiers, ces deux entreprises dominent le classement. Plus particulièrement, Google a réalisé une performance remarquable en s’emparant des deux premières places grâce au lancement de Gemini 2.0 Flash, témoignant de sa volonté de conserver sa position de leader.

Les facteurs d’évaluation des modèles de langage

La Chatbot Arena, une initiative de « Large Model Systems Organization », est une plateforme conçue pour évaluer les modèles d’IA. En opposant deux modèles dans des duels anonymes, elle sollicite les avis des utilisateurs pour déterminer lequel fournit la meilleure réponse. La plateforme garantit une évaluation objective et continue, reflétant les capacités des modèles dans des conditions d’utilisation réelles.

Pour classer ces modèles et suivre leur évolution, Chatbot Arena s’appuie sur un système de notation bien connu dans le monde des jeux « Elo ». Ce système attribue à chaque modèle une note qui évolue en fonction des résultats de ses duels. Un modèle gagne des points en battant un concurrent mieux classé et en perd dans le cas contraire. Ce mécanisme est similaire à celui utilisé dans une simulation de portage salarial où les revenus d’un employé porté évoluent en fonction de ses missions et de leur évaluation par le client.

Un classement dominé par Google et OpenAI

D’après l’évaluation de Chatbot Arena, Gemini-Exp-1206 obtient le meilleur classement avec une note Elo de 1372, démontrant ainsi une performance supérieure aux autres modèles. Il est suivi par Gemini 2.0 (1368) et ChatGPT 4o Latest (1364). Les autres modèles du top 10 incluent Gemini 2.0 Flash (1354), o1-preview (1335), o1-mini (1306), Gemini 1.5 Pro (1302), Grok-2-08-13 (1288), Yi-Lightning (1287) et GPT 4o (1285).

Le modèle de langage Claude, souvent dans les premiers rangs du classement, sort du top 10 pour se retrouver à la 11e position. De son côté, Yi Lightning, conserve sa place parmi les 10 meilleurs modèles en se classant 9e. Grok, quant à lui, perd une position par rapport au mois précédent et occupe la 8e place. Enfin, Mistral Large-24-11 n’a pas réussi à revenir dans le top 20 et se situe à la 25e place.

En parallèle à ces avancées dans le domaine de l’intelligence artificielle, le monde du travail continue d’évoluer. Pour les indépendants souhaitant bénéficier d’un statut de salarié tout en conservant leur autonomie, le portage salarial est une option de plus en plus populaire. Grâce à des outils de simulation portage salarial il est désormais possible d’obtenir rapidement une estimation précise de ses revenus potentiels.